Source : Putting the World’s Slums on the Map (Bloomberg MapLab, 26 juillet 2021)
« Les chercheurs et les habitants se tournent vers des outils de données open source pour combler les lacunes en matière d'informations sur les quartiers informels qui sont souvent laissés de côté sur les cartes officielles. Souvent, ces zones sont représentées dans les systèmes d'information officiels comme des polygones vides nommés « zones informelles » ou « zones en cours de développement ». Plus d'un milliard de personnes vivent dans ces zones urbaines, selon les Nations Unies, et leur nombre augmente très vite avec l'explosion urbaine. De graves lacunes dans l'information géographique rendent ces zones invisibles : contrairement aux zones formelles, les bidonvilles peuvent ne pas avoir leurs rues, leurs services et leurs bâtiments cartographiés sur des plateformes telles que Google Maps »
Exemples de cartographie participative à La Vega (bidonville de Caracas), mais aussi à Nairobi (Kenya), en Namibie, Ouganda (camps de réfugiés)...https://t.co/MKwX2KDPU9
— Sylvain Genevois (@mirbole01) August 11, 2021
En 2020, MapUganda a utilisé des drones pour cartographier le camp de réfugiés de Nakivale près de la frontière avec la Tanzanie afin de planifier les futures infrastructures publiques et de cartographier les groupes ethniques dans ce camp informel.https://t.co/IlLImqRAqx pic.twitter.com/XffHQ0iaL9
— Sylvain Genevois (@mirbole01) August 11, 2021
Séance pédagogique : Spatialiser l’étude d’un bidonville par la cartographie en ligne. L’exemple de Kibera (Kenya) https://t.co/HxwUrWovBQ pic.twitter.com/dS7F8ZKTZV
— Sylvain Genevois (@mirbole01) August 11, 2021
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