"Camarades cartographes, vous qui connaissez sur le
bout des doigts la sémiologie graphique de Jacques Bertin, vous le savez
pertinemment, la seule variable visuelle permettant de retranscrire
visuellement des données quantitatives absolues est la variable visuelle
Taille. En d’autres termes, s’il ne fallait retenir qu’une règle et une seule,
elle s’énoncerait un peu caricaturalement de la façon suivante : Pas de stocks
en aplat. Simple. Basique". Et si on essayait les stocks en aplat, qu'est-ce que cela donnerait ?
La suite de cette mise au point de Nicolas Lambert est à lire sur le blog Néocarto.
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Un autre exemple (signalé par Jules Grandin sur Twitter) sur un sujet "sensible" : la cartographie de la radicalisation en France.
Lien ajouté le 26 mars 2019
« Population Votes – Not Area »— Jules Grandin (@JulesGrandin) 26 mars 2019
Déjà en 1915, on critiquait les cartes politiques choroplèthes en soulignant que ce sont bien les populations, et non les espaces, qui votent.
En revanche, le message que les auteurs souhaitent faire passer va vous surprendre...
Explications ⬇️ pic.twitter.com/FAl4BrXz28
Lien ajouté le 2 octobre 2019
Un excellent exemple de pourquoi il ne faut pas utiliser des aplats de couleurs sur une carte pour représenter des quantités ou des volumes (mais seulement pour représenter des taux) : https://t.co/ugc1umG0SQ— Motet (@LaMotet) October 1, 2019
Lien ajouté le 26 septembre 2021
Enorme #mapfail concernant les valeurs de stocks en aplats ! "1,65 millions de ressortissants français vivent en Indopacifique dont la moitié à La Réunion" (invisible sur la carte car trop petite à cette échelle). Les aplats verts laissent penser qu'ils sont en Australie et Chine https://t.co/ZKL73Cs0WS
— Sylvain Genevois (@mirbole01) September 26, 2021
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En complément, un guide de sémiologie cartographique produit par l'INSEE.
Une story map sur les cartes choroplèthes et les règles de base à respecter (en anglais)
Une liste de #mapfails et de perles cartographiques recensés sur Twitter